Retour au travail ou aux études

Dites-vous que si vous êtes en congé de maladie, c’est que vous en avez besoin. Vous faites simplement ce qu’il faut pour faciliter votre retour à la meilleure santé possible. Ce n’est pas votre faute si vous avez développé un cancer et ce n’est pas une question d’âge. Même si c’est difficile, continuez dans la mesure du possible à faire ce que vous aimez, à faire de l’exercice, à voir vos amis. Essayez de profiter de cette période pour décrocher des études ou du travail et prendre du recul sans vous sentir coupable.

Si votre condition ne vous permet pas d’étudier à temps plein mais que vous désirez poursuivre vos études à temps partiel, vous pourriez être admissible au Programme de prêts et bourses et bénéficier de mesures particulières même si vous étudiez à temps partiel.

Pour en savoir plus :
Rubrique « Trouble grave de santé mentale ou physique », en ligne, Éducation et Enseignement supérieur, consulté le 24 mars 2020.

Si vous en avez la possibilité, le retour progressif est souvent la meilleure façon de retourner au travail ou aux études. Demandez à votre médecin de famille ou à votre médecin spécialiste un retour très progressif, bien adapté à vos besoins et votre condition physique et psychologique, sans toutefois dépasser la durée permise par l’employeur si vous travaillez.
Exprimez vos besoins et expliquez bien à votre médecin la nature, les exigences et l’environnement de vos études ou votre travail afin qu’il puisse comprendre les difficultés anticipées. De cette façon, vous pourrez planifier un retour progressif facilitant le plus possible le retour. Ne prenez pas pour acquis que le médecin connaît ce que vous faites comme emploi ou comme études et ce que cela implique exactement. S’il y a lieu, demandez au médecin de mettre par écrit ses recommandations particulières (ex. si le travail exige d’être debout, pouvoir utiliser temporairement une chaise, etc.)
Les patrons préfèrent, généralement, avoir leur employé, même si c’est seulement à mi-temps, plutôt que de ne pas l’avoir du tout.
Si vous êtes étudiant, discutez avec les personnes responsables dans votre établissement d’enseignement de la possibilité de bénéficier d’un retour progressif aux études et d’adapter le programme d’études à votre condition.

Pour en savoir plus :
Rubrique « Travail et école – Modalités de travail flexible », en ligne, Réseau canadien du cancer du sein, consulté le 24 mars 2020.

Ne vous surprenez pas de ressentir de la fatigue même si les traitements sont derrière vous : c’est l’effet secondaire le plus fréquent des traitements pour le cancer. Cette fatigue et ses effets sur le moral peuvent perdurer après les traitements, d’où la nécessité de les considérer avant d’envisager un retour. Discutez-en au besoin avec votre équipe de soins. Quand votre médecin évaluera votre capacité à retourner au travail, il est important de lui faire part de votre niveau de fatigue et de votre moral. Une fatigue omniprésente peut être nuisible à vos études ou votre travail. Bien respirer, prendre l’air et faire de l’activité physique (ex. marcher) sont des moyens privilégiés pour augmenter sa vitalité et éliminer de la fatigue.

Si vous avez des problèmes de sommeil, parlez-en à votre équipe de soins. Il est important de ne pas tolérer d’insomnie et de faire attention à votre sommeil. Au besoin, vous pouvez vous aider avec des médicaments (parlez-en à votre médecin et à votre pharmacien et évitez de prendre des produits naturels sans consulter votre pharmacien). Faites aussi attention à votre alimentation (mangez santé) et prenez des collations santé en matinée et en après-midi afin d’éviter les baisses drastiques d’énergie. Si votre environnement le permet, prenez des moyens pour récupérer durant les pauses ou les périodes de repas (ex. petites siestes de 10 ou 15 minutes en restant assis sur sa chaise ou en appuyant sa tête sur un bureau). Utilisez un réveille-matin au besoin pour ne pas passer tout droit.

Pour en savoir plus :
Bellavance Samantha, Gestion de la fatigue au quotidien: un outil pour les personnes atteintes de cancer. Programme de physiothérapie de l’Université Laval et Fondation québécoise du cancer, Québec, 2013.

Rubrique « Outil de suivi – Cancer et fatigue au travail », en ligne, Cancer and work, consulté le 24 mars 2020.

Rubrique « Évaluation de votre aptitude au travail », en ligne, Cancer and work, consulté le 24 mars 2020.

Non. Vous n’avez aucune obligation légale d’informer votre employeur, sauf si votre situation nécessite des mesures d’adaptation. Par contre, il est préférable de donner l’heure juste à votre patron sur l’évolution de votre état lors du retour. Faites-lui part des recommandations du médecin, de vos limitations ou incapacités temporaires, des effets secondaires aux traitements reçus (ex. fatigue) ou à la médication, s’il y a lieu. Exprimez-lui vos besoins et vos craintes afin qu’il puisse adapter votre travail à votre condition. Participez à la recherche de solutions. Prévenez-le des futures absences pour des suivis avec votre médecin. Ne le faites pas qu’une seule fois, mais au fur et à mesure des semaines. Informez-le aussi de l’amélioration de votre situation.

Pour en savoir plus sur les questions d’ordre juridique :
Rubrique « Questions d’ordre juridique : Québec », en ligne, Cancer and work, consulté le 24 mars 2020.

Dans la mesure du possible, gardez le contact avec vos collègues et votre employeur. En général, rester au courant de ce qui se passe au travail facilite le retour. Pas besoin de revoir tout le monde, essayez simplement de garder le contact avec au moins une personne avec laquelle vous vous sentez à l’aise. Il y a plusieurs façons de conserver un lien, et c’est à vous de décider : prendre un café, correspondre par courriel, communiquer par téléphone, assister à des événements sociaux si on se sent suffisamment en forme et si on en a le goût, par exemple.

Si cela s’applique à votre situation, vous pouvez aussi choisir de lire à distance vos courriels du travail afin de vous tenir au courant, de garder un certain lien et de faire du ménage régulièrement.

Certaines personnes préfèrent tout de même couper complètement avec le travail durant l’absence en maladie par crainte de vivre un stress supplémentaire. C’est à vous d’évaluer ce qui vous convient le mieux en tenant compte de votre réalité.

Pour en savoir plus :
Rubrique « La communication avec votre milieu de travail », en ligne, Cancer and work, consulté le 24 mars 2020.

Rubrique « Le maintien des relations avec vos collègues durant votre absence », en ligne, Cancer and work, consulté le 24 mars 2020.

Préparer, anticiper, accompagner: le retour au travail après un cancer, Fondation ARC, en partenariat avec l’Institut Curie, 2014 (pages 13-14).

Lorsque la date de votre retour au travail est fixée, il est souvent avantageux de rendre visite à vos collègues et votre patron quelques jours ou semaines avant. Ainsi, vous pourrez :

• briser la glace
• rétablir le contact d’avance avec les membres du personnel
• vous informer des changements apportés dans votre travail ou votre organisation durant votre absence (avancement des dossiers, nouveau personnel, nouvelles politiques, etc.)

Aucune loi ne vous oblige à divulguer votre condition médicale à vos collègues. La décision vous appartient. Ce que vous choisissez de dire et à qui dépend de votre environnement de travail et de votre situation personnelle.

Déterminez à l’avance ce que vous voulez et ne voulez pas exprimer aux autres concernant ce que vous avez vécu (maladie, traitements, etc.) ainsi que la façon dont vous voulez le faire. Cela permettra de diminuer l’anxiété et le stress que la pensée de ce retour peut occasionner. Le jour venu du retour au travail sera facilité parce que certaines étapes auront déjà été franchies.

N’oubliez pas de rester vous-même : si vous êtes une personne extravertie qui aime parler, vous exprimerez les choses différemment que si vous êtes une personne réservée, et c’est normal.

Pour en savoir plus :
Rubrique « Qui doit savoir : comment exercer votre pouvoir de divulgation », en ligne, Cancer and work, consulté le 24 mars 2020.

Rubrique « Sharing the news », en ligne, Cancer + careers, consulté le 24 mars 2020.

Une personne en absence prolongée en maladie ne perd pas ses compétences, son expérience, ni ses capacités intellectuelles durant son congé. Rappelez-vous que lorsque l’on revient de vacances, on peut se sentir rouillé avec un cerveau ramolli et on a parfois oublié ses mots de passe ou autres codes d’accès. Après une longue absence, c’est normal de se sentir désorienté et d’avoir du mal à se concentrer.

Tenez compte de vos limites et respectez votre niveau d’énergie. Acceptez d’être moins productif pour un temps et évitez de vous imposer des attentes irréalistes.

Rassurez-vous en vous disant : « Je fais ce que je peux et si ça ne va pas, je retournerai en congé ». Cela ne veut pas dire que vous retournerez en maladie, mais le simple fait de vous accorder cette option, en pensée, diminuera votre stress.

N’hésitez pas à communiquer avec votre équipe de soins si vous vous sentez dépassé par la situation. Vous pouvez aussi communiquer avec une infirmière expérimentée en oncologie de la Fondation québécoise du cancer au 1 800 363-0063.

Vous n’êtes ni vieux ni peureux! Vous avez été atteint d’une maladie grave et le retour aux études ou au travail est une étape importante à franchir. C’est normal dans votre cas d’avoir besoin d’un réseau de soutien. Il s’agit de mettre toutes les chances de son côté! N’hésitez pas à faire appel à toutes les personnes susceptibles de vous aider, professionnels ou personnes proches de vous.

Pensez à :

• votre famille, vos amis;
• les membres de votre équipe de soins (infirmière-pivot, travailleur social, psychologue, etc.);
• le PAE (Programme d’aide aux employés) de votre organisation s’il y a lieu, ou tout autre service d’aide aux personnes et aux étudiants;
• votre milieu de travail ou d’études (conseillers en ressources humaines, professeurs, collègues dont vous vous sentez proches, conseillers en orientation professionnelle, etc.);
• des organismes d’aide aux personnes atteintes d’un cancer comme la Fondation québécoise du cancer, la Fondation du cancer du sein du Québec, la Société canadienne du cancer;
• d’autres jeunes survivants du cancer (vous pouvez communiquer avec la Fondation québécoise du cancer pour un jumelage téléphonique avec un autre jeune).

Pour en savoir plus sur le rôle des professionnels :
Rubrique « Le rôle des professionnels », en ligne, Cancer and work, consulté le 24 mars 2020.

Le moment viendra où heureusement vos traitements seront terminés. Votre médecin vous parlera probablement de retour au travail ou aux études. Si cet aspect vous préoccupe, parlez-en. Informez-le des exigences de vos tâches afin qu’il comprenne vos besoins. Il pourra ainsi mieux adapter ses recommandations.

Ne soyez pas trop dur avec vous-même. Si vous ne vous sentez pas prêt, exprimez-le. Revenir trop tôt n’est certainement pas souhaitable. Vous êtes la personne la mieux placée pour évaluer la situation. Faites tout votre possible, mais pas à tout prix! Soyez conscient par contre qu’il n’y aura jamais de moment parfait. On ne peut jamais être prêt à 100 %.

Si cela ne va pas aussi bien que prévu, discutez-en avec votre employeur ou la personne responsable de votre dossier scolaire. Il est habituellement possible de faire des modifications : tâches allégées, temps partiel, délai raisonnable dans la remise de dossiers ou travaux. Et si malgré tout, cela ne va pas, parlez-en à votre médecin. Vous aurez peut-être besoin d’avoir encore un peu de repos avant le retour définitif.

En savoir plus :
Rubrique « Le moment : Quand serais-je prêt à reprendre le travail? », en ligne, Cancer et travail, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « J’ai terminé mon traitement contre le cancer, mais suis je-prêt(e) à retourner au travail? », Fondation du cancer de la région d’Ottawa, consulté le 12 février 2020.

Durant votre absence en maladie, vous vous êtes donné une certaine routine au quotidien. Vous avez peut-être apporté des changements positifs à votre vie et ils méritent d’être conservés (activité physique adaptée, alimentation plus saine, respect du besoin de sommeil, par exemple). Évidemment, votre retour perturbera cette routine.

La fatigue aura probablement un impact. Pour vous reposer et récupérer votre énergie, il sera important de diminuer vos activités et de modifier la routine que vous avez établie. Soyez réaliste : vous ne pourrez pas continuer de faire tout ce que vous faisiez durant votre congé de la même façon et, en plus, étudier ou travailler. Pour conserver votre stabilité, vous devrez donc privilégier votre retour tout en gardant du temps et de l’énergie pour d’autres activités. Le défi sera de trouver un nouvel équilibre, une nouvelle normalité.

Tentez de limiter les sources de stress le plus possible. Ne vous en demandez pas trop, soyez réaliste; vous ne pourrez pas tout faire au début. Prenez le temps de découvrir ce qui vous procure le plus de stress et voyez ce qu’il est possible de faire pour y remédier.

N’hésitez pas à demander du soutien et différents services aux membres de votre entourage : cela facilitera votre transition vers votre nouvelle normalité.

Pour en savoir plus :
Rubrique « Retour au travail après un cancer », en ligne, Fondation québécoise du cancer, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « Workplace wellbeing », en ligne, Cancer et travail, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « Relieving stress », en ligne, Cancer and careers, consulté le 12 février 2020

Il est impossible de savoir comment les autres réagiront. Chaque personne exprime les choses selon son tempérament et sa propre expérience de vie. Encouragements positifs, blagues, comparaisons, allusions… Vous pourrez vous sentir réconforté par certaines réactions et pas du tout d’autres fois. Parfois vous aimeriez qu’on vous parle, mais les personnes se taisent, font comme si rien ne s’était passé. La plupart du temps, lorsqu’une réaction vous semble inappropriée, ce n’est pas de l’indifférence ni du jugement, c’est plutôt que les personnes ne savent pas comment agir ou quoi dire. Lorsqu’on n’a pas été atteint soi-même d’un cancer ou qu’on n’a pas côtoyé une personne atteinte, on risque d’être maladroit.

Pour vous préparer aux diverses réactions, vous pouvez réfléchir d’avance à la façon dont vous aimeriez être traité. Vous pourrez ainsi l’exprimer au besoin aux personnes concernées. Préparez-vous aussi à répondre à leurs questions. Si vous ne vous sentez pas à l’aise de parler de votre cancer, c’est votre choix de ne pas le faire. Rappelez-vous cependant que vos collègues ont besoin d’un minimum d’information sur l’impact que votre situation aura sur votre travail.

Pour en savoir plus sur les réactions possibles des collègues et comment y faire face :
Rubrique « Parler de son cancer », en ligne, Lymphome Canada, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « Addressing comments at work: From the well-intended to outright insensitive », en ligne, Cancer and careers, consulté le 12 février 2020.

Tout d’abord, sachez que vous n’êtes pas la seule personne à vivre cette situation. Difficultés de concentration et trous de mémoire sont des problèmes cognitifs fréquents après un cancer. On parle parfois de « chemobrain » ou brouillard cérébral. Pour la majorité des personnes, les symptômes disparaissent dans l’année qui suit le traitement.

Beaucoup écrire, prendre des notes, se donner des aide-mémoire (usage de Post-it) aident à pallier les difficultés de mémoire et de concentration. N’en demandez pas trop à votre mémoire, vous éviterez ainsi un facteur de stress important. Écrire libère l’esprit et vous pourrez toujours retourner lire vos notes. C’est un bon outil pour vous aider.

Si vos difficultés cognitives nuisent beaucoup à votre retour ou si la situation vous dérange au point de perdre confiance en vous, n’hésitez pas à consulter votre équipe de soins.

Pour en savoir plus sur les troubles cognitifs associés au cancer et les façons d’y faire face :
Rubrique « Troubles cognitifs », en ligne, Société canadienne du cancer, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « Les difficultés cognitives », en ligne, Cancer et travail, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « Brouillard cérébral ou chemobrain », en ligne, Fondation cancer du sein du Québec, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « Dysfonction cognitive à la suite d’une chimiothérapie », en ligne, Réseau canadien des survivants du cancer, consulté le 12 février 2020.

Cancer-Related brain Fog, University Health Network, 2017.

Pour certaines personnes, rester au travail ou aux études semble être la seule avenue envisageable. Prenez d’abord le temps de bien évaluer votre situation. Pourquoi cela doit-t-il en être ainsi? Quelles sont les implications d’un tel choix? Tenez compte du type de cancer dont vous êtes atteint, des traitements, de votre situation personnelle et de votre réalité professionnelle. Quelles sont les possibilités qui s’offrent à vous? Pourquoi voulez-vous continuer? Est-ce vraiment la seule avenue possible? Votre état de santé vous permettra-t-il vraiment de continuer?

Discutez de ces questions avec votre équipe de soins. Informez-vous en particulier sur :
• La durée de vos traitements;
• Les effets secondaires possibles et la façon de les gérer au travail;
• La possibilité de tenir compte de vos activités professionnelles pour établir votre calendrier de traitements.
Mieux vous connaîtrez les implications du traitement, plus votre décision sera éclairée.

Vous sera-t-il facile de vous absenter pour vos traitements ou examens médicaux? Informez-vous auprès de la personne qui pourra le mieux vous informer : employeur, supérieur, responsable des ressources humaines, conseiller de votre institution scolaire. Si vous choisissez de parler de votre cancer à votre employeur, dites-lui que vous êtes confiant de pouvoir continuer à travailler, mais restez honnête. Ainsi, vous pourrez trouver ensemble la meilleure façon de procéder si vous devez modifier votre horaire ou certaines de vos tâches.

Souvenez-vous que malgré votre choix, votre état peut exiger des modifications en cours de route. Tout dépendra de votre réaction aux traitements. Malheureusement, il peut arriver des surprises, alors soyez indulgent avec vous-même!

Pour en savoir plus :
Rubrique « Travail et cancer », en ligne, Société canadienne du cancer, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « Travail et école. Modalités de travail flexibles. », en ligne, Explofinances, Réseau canadien du cancer du sein, consulté le 18 février 2020.

Rubrique « Employment issues », en ligne, Livestrong, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « School and work during cancer », en ligne, Cancer.Net, consulté le 12 février 2020.

Il y a différentes façons de procéder lorsqu’on cherche du travail après un long congé de maladie. Consultez ces liens pour des trucs et conseils :
Rubrique « La rédaction du curriculum vitae », en ligne, Cancer et travail, consulté le 12 février 2020.

« The unstoppable résumé », en ligne, Cancer@work, consulté le 12 février 2020.

Rubrique « Minding the resume gap », en ligne, Cancer and careers, consulté le 12 février 2020.

Sites consacrés au retour au travail après un cancer

• Cancer et travail : un incontournable!

Extrait :
Le site Web Cancer et travail a été conçu pour répondre aux préoccupations des survivants du cancer sur le retour au travail, le maintien en poste, le changement ou la recherche d’emploi après un diagnostic. Il propose des renseignements, des ressources et des outils interactifs récemment créés aux survivants du cancer, aux fournisseurs de soins et aux employeurs, ainsi que des informations utiles provenant de partout sur la planète.

• Travail et cancer
• Cancer and Careers

Brochures en format électronique

Préparer son retour au travail après un traitement du cancer, University Health Network. 2019.

Préparer, anticiper et accompagner le retour au travail après un cancer, Fondation Arc, en partenariat avec l’Institut Curie, 2014.

Cancer, Work & You A guide for people with cancer, their families and friends, Cancer Council Australia. 2019.

Livres

Grégoire, Mélanie. À la santé de votre retour au travail! 250 idées rafraîchissantes pour reprendre le contrôle de sa vie personnelle et professionnelle à la suite d’un arrêt de travail… Un monde différent, 190 p., 2009.

Magnier, Géraldine L. Après la maladie, le travail: reprendre une trajectoire professionnelle après le cancer. Enrick. B. Éditions, 142 p., 2018.

Tuszynski, Anne-Sophie. Cancer et travail: j’ai (re)trouvé ma place! Comment trouver la vôtre? Editions Eyrolle, 135 p., 2017.

Vidéos

Le retour au travail en présence de cancer, ACEQ, 2016.

Moving forwards: School, ASCO et Fondation Livestrong, 2012.

Moving forwards: Work, ASCO et Fondation Livestrong, 2012.